Un capitaine libère son sous-marin et le transforme du pire au meilleur de US Navy

Nous avons déjà écrit sur ce blog que l’armée n’est pas synonyme de commandement-et-contrôle et que ce changement a commencé au 19e siècle (en Prusse pour le malheur de la France).

Les exemples d’organisations militaires avec des environnements fondés sur la liberté et la responsabilité sont encore rares. Les Forces Spéciales en est un cas qui se rapproche le plus de ce type d’environnement.

Et voici que David Marquet a prouvé que ça peut marcher dans la marine et il est convaincu—sans surprise pour les lecteurs de ce blog—que la même approche peut marcher pour toute organisation.

Regardez ces deux conférences de Marquet.

2 remarques à propos de “Un capitaine libère son sous-marin et le transforme du pire au meilleur de US Navy”

  1. Merci pour ce post très intéressant. Ancien des forces spéciales et aujourd’hui coordinateur pédagogique d’un organisme de formation en développement du leadership pour les managers, je ne peux qu’abonder dans le sens de David Marquet. L’implication de tous les membres de l’equipe est le point clé de la méthode d’elaboration de la décision opérationnelle utilisée par les armées française, que l’on travaille au niveau tactique ou stratégique. En outre c’est aussi parce que nous utilisons tous la même méthode que nous gagnons en efficacité dans la phase d’execution. Cela en étonnera sûrement plus d’un….

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