C’est au sein des rencontres du club de dirigeants APM que Carine Rouvier commence à s’intéresser à l’entreprise libérée. Quand elle se lance dans l’aventure, les réactions au sein d’Europamiante sont contrastées. «Dans les mois qui ont suivi, j’ai perdu quelques salariés qui étaient déstabilisés par le fait de ne plus avoir de chefs », se rappelle la dirigeante, qui y était préparée : les entreprises qui se libèrent perdent en général entre 5 % et 10 % de leurs salariés , qui s’excluent d’eux-mêmes du nouveau modèle.

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