Dès le début, avec mon article de 2009 dans la California Management Review, j’ai défini l’entreprise libérée comme une philosophie. N’est-ce-pas philosophique, un mode d’organisation qui advient non pas par un ensemble spécifique d’éléments structurels (tel rôle du manager, tel outil de contrôle, …) mais par sa finalité : permettre la liberté et la responsabilité d’action à la majorité de salariés ?
Il n’est donc pas étonnant que Philosophie Magazine ait décidé d’inclure l’entreprise libérée dans une série d’articles sur la société collaborative qui est en train d’émerger devant nos yeux, y compris dans les entreprises.
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